BENOIT VINCENT RELEASES ‘A FEW FRAMES’

Musician and composer BENoît VinCenT has generously released an album entitled A Few Frames Away, a rock creation that eludes to film scores and his own influences as a guitarist.

BENoît VinCent has been involved in many audiovisual projects which is what drew him to create these songs. He is a master of DIY, as he was in total creative control over every aspect including mixing and recording. The album is meant to be fully conceptualized and admired as singular “short film” or “frames,” hence the name. His eclectic taste in music shows across the album with blues, electronic, and rock.

A Few Frames consists of 12 songs that vary quite a lot. The eighth song, “Snake In the Grass” is a world music-inspired piece with acoustic guitar and tempo changes throughout. There is a considerable amount of digital editing on this song and pretty much all the others. VinCent is obviously very skilled as a mixer and producer. His guitar playing is equally impressive and one of the best things about the album.

BENoit VinCent’s Guitar Playing Is Beyond Great

One of the standouts is “Rising Song.” It has a Latin flavor and a good groove that advances and recedes seamlessly. His voice is a nice accompaniment to the rhythm of the instrumental components. It’s a nice contrast to the previous song, “Undertow,” which is reminiscent of ’90s goth rock. It’s heavy and delightfully moody with electric guitar and cool editing. It should be mentioned that VinCent’s voice is pretty malleable to the feeling of each type of song.

BENoît VinCent is currently offering A Few Frames Away as a free download. VinCent wants to share his music with a wide audience and to inspire listeners to try making their own unique creations. This is wonderfully unusual and a welcome change in today’s music industry. The album is diverse and accessible to people with different tastes in music. You can download the album on his website and you will be pleasantly surprised.

Le rock en accès libre de Benoît Vincent.

Auteur, compositeur et interprète, Benoît Vincent, habitant de Durstel, vient de sortir un album qu’il a créé à 100%. Nommé « A few frames away », cet album rock de 12 titres a pour particularité d’être en accès libre sur son site Internet.

Musicien depuis de nombreuses années, Benoît Vincent travaille notamment de nombreux projets audiovisuels (films, publicités, documentaires…) dont il signe la musique et le sound design. Mais en parallèle de ce métier qu’il complète avec des cours qu’il dispense dans deux écoles nancéennes, le musicien de 38 ans a toujours développé des projets musicaux et scéniques. Il a d’ailleurs fait partie de plusieurs groupes, dont Blue Pearl et Mystical avec lesquels il a déjà sorti des albums. Il a aussi accompagné de nombreux artistes à la guitare.

« S’ils ont aimé, je les invite à faire un don »

Guitariste depuis son adolescence, Benoît Vincent s’est appuyé sur cet instrument pour créer la base des 12 morceaux de ce premier album sous son propre nom. « L’idée était d’être totalement libre de créer un album. J’ai d’abord écrit les morceaux à base de guitare et voix, puis j’y ai ajouté les autres instruments (batterie, synthétiseur, basse…) »

Un côté multi-instrumental qui ne lui fait pas peur. « Les arrangements, c’est mon métier. Avec cet album, je voulais voir jusqu’où je pouvais aller tout seul ».

Mais ce n’est pas le seul objectif poursuivi par Benoît Vincent. « J’espère que cet album aura une deuxième vie sur scène, avec des musiciens. Les morceaux seront peut-être un peu différents à ce moment-là puisqu’on vas sans doute les retravailler pour la scène ». L’ambiance de ces douze morceaux chantés en anglais, est plutôt marquée rock, avec quelques touches d’électronique. Les fans du rock de la fin des années 1990 début 2000 y retrouveront une sonorité qui ressemble un peu au groupe Nickelback. L’artiste en cache pas avoir des influences de cette époque, « mais aussi des groupes plus anciens comme Pink Floyd ». Il apprécie aussi d’autres styles musicaux.

Benoiît Vincent sort un premier album sous son véritable nom.

Mais au-delà de l’aspect musical de cet album, qui sera différemment apprécié en fonction des goûts musicaux de chacun, ce qui fait la principale originalité de la démarche de Benoît Vincent, c’est son mode de distribution. « En discutant avec mes élèves, je me suis aperçu que de moins en moins de personnes achètent des CDs et qu’ils sont nombreux à ne pas payer pour écouter de la musique ». C’est notamment pour cela qu’il tente une expérience peu commune.

En plus de la possibilité de commander un CD sur son site, il propose aux internautes de télécharger l’album gratuitement sur son site Internet. « Ensuite, s’ils ont aimé, je les invite à faire un don du montant de leur choix ». Un  mode de financement alternatif qui peut faire penser aux concerts à entrée libre où l’artiste fait tourner un chapeau à l’issue du spectacle.

« L’objectif est aussi de voir si un financement est possible de cette manière-là. C’est aussi la possibilité de me faire connaître du plus grand nombre sans qu’il y ait le frein du prix d’un album. L’idée est d’être dans une démarche de partage et si possible d’avoir de retours directs de ceux qui l’auront téléchargé ».

Pour le moment, et avant même de faire savoir qu’il avait sorti ce nouvel album, il y a déjà une centaine de téléchargements qui ont été effectués sur son site. Et son projet commence petit à petit à intéresser des radios. « Normalement, à partir de la semaine prochaines, certains titres devraient passer sur l’antenne d’une radio locale d’Orléans, une autre dans le sud de la France et un troisième en Belgique ».

Des bons débuts qu’il espère poursuivre « sur scène, et pourquoi pas dans le secteur, pour le partager directement avec le public ». Quatre clips sont en cours de tournage. Ils devraient apporter une touche plus visuelle à ce projet qu’il mène depuis 2-3 ans en parallèle de son travail.

THOMAS LEPOUTRE

>>> L’album est téléchargeable sur le site internet www.benoitvincent.com

>>> Pour nos lecteurs internautes, un des douze titres de cet album est intégré à l’article sur www.dna.

Sarre-Union : BENoit VinCenT, cœur de rockeur et poète sonore

Originaire de Durstel, BENoît VinCenT (son nom d’artiste) est un musicien accompli mais aussi un compositeur pour le cinéma et la publicité. Il vient de produire son premier album solo, A few frames away.

BENoît VinCenT s’est spécialisé dans l’illustration de documents visuels, mais n’a jamais perdu son âme de rockeur, se nourrissant de diverses influences.

Bonjour, je suis un artiste local et je viens vous présenter mon album ». Sauf que Benoît a déjà pas mal d’expérience à son actif et peut en dire long sur ses multiples productions. Musicien professionnel, il vit aujourd’hui de commandes visant à illustrer, au plan sonore, vidéos pour les entreprises, clips publicitaires, courts et longs métrage, depuis son studio installé en Alsace Bossue. « Je suis tombé amoureux de la musique quand j’étais ado, j’ai fait partie de plein de groupes et suivi des études liées à cette passion. » Le guitariste véloce qu’il est devenu est notamment passé par la Music academy international (MAI) de Nancy.

Il habille la mode ou l’énergie de sa musique

Son incursion dans le monde de l’image s’est faite un peu par hasard. « Le résultat de stages en studio, de rencontres. Un jour, un réalisateur a produit un document sur Georges Sadoul à Sarre-Union, j’ai écrit la musique et pris goût à l’illustration musicale », explique-t-il. « Désormais, les cinéastes viennent me voir pour obtenir une touche bien précise. » Benoît s’est fait un nom auprès de grandes maisons, notamment dans le monde de la mode : Hermès, Loréal, Audi, Total, Erdf ou Loris Azzaro... « Ce qui me plaît, c’est qu’il n’y a pas de limites, les gens veulent quelque chose de créatif, il s’agit de vrais projets audiovisuels et il y a une alchimie réelle avec le travail du réalisateur, chaque projet est vraiment différent. »

Un rock personnel et inspiré

L’homme est un guitar man confirmé et accompagne d’autres artistes. L’album qu’il vient de sortir est un plus, « J’y fais surtout la musique que j’aime », une douzaine de chansons rock contemporain aux influences diverses, de l’électro à la world music en passant par le blues. Bref, rien que des choses agréables à entendre. L’artiste produit et diffuse sans intermédiaires, son envie étant de privilégier le contact direct et inciter chacun à soutenir une démarche de création. « Cela restera toujours un peu artisanal, j’essaie de me libérer un peu de l’objet », confie le créateur de A few frames away , qu’on peut traduire par « Quelques images au loin », clin d’œil à ses productions pour l’audiovisuel. En attendant, BENoit VinCenT aimerait bien se produire sur des petites scènes ou cabarets locaux.

www.benoitvincent.com

Benoît Vincent sans compromis

Intervenant à la Music Academy International, l’auteur, compositeur, interprète se lance et sort son premier album solo. Un opus disponible en accès libre sur son site.

BENoît VinCenT franchit le pas et sort un album solo.

A 38 ans, originaire de Sarre-Union, BENoît VinCenT n’est pas le premier venu. Et pourtant. Le voilà qui se lance, qui fait le grand saut. « Je suis attaché à Nancy. J’ai étudié la guitare à la MAI en 2000 puis j’ai suivi le cursus Music-Production pour produire des albums », détaille l’artiste confirmé. Et pour cause. « J’ai déjà sorti des albums avec mes anciens groupes. Avec la démocratisation du matériel et les nouvelles technologies, sortir un disque est, il est vrai, devenu nettement plus facile ! »

Pas de limite

Mais avant d’en arriver là, l’album doit prendre forme dans l’esprit de BENoît VinCenT. Le tout, avec une constance : cette guitare encore et toujours présente. « J’ai grandi avec Led Zeppelin, Jimi Hendrix, puis Nirvana lorsque j’étais ado. » Ce qui ne l’a pas empêché de se laisser séduire aussi bien par l’électro que par le jazz. Autant d’influences qui l’ont fait encore franchir un cap en intégrant, toujours à la MAI, la formation « Musique de Film ». Cursus dans lequel il est même devenu intervenant, ainsi qu’en Music Production. « Ce parcours m’a permis de me donner des clefs essentielles. Surtout, la musique de film a un côté très sympa : il n’y a pas de règle. Ce qui prime et qui fait tout, c’est l’alchimie qui se crée entre le compositeur et le réalisateur. Du point de vue créatif, c’est génial, la musique suggère les choses, suscite des émotions ! »

Se projeter sur scène

utant d’ingrédients que BENoît VinCenT a mis dans son premier album solo, « A Few Frames Away ». Douze morceaux rock saupoudrés d’une belle pincée d’électro au milieu des accords tout droit venus de la world music ou encore de ce blues où, là aussi, la guitare est plus que jamais en première ligne. « J’ai beaucoup travaillé sur cet album, notamment sur les arrangements, et je me suis autorisé diverses expérimentations musicales et sonores… Et, naturellement, sur les textes. Il a fallu quelques années pour que le projet mûrisse, évolue et prenne forme. Au départ, je partais sur des titres guitare acoustique-voix. J’ai ensuite posé les instruments puis j’ai intercalé des séquences électro, par exemple. J’ai écrit volontairement seul pour aller plus loin. L’objectif était de se projeter, avec les morceaux, qui sont comme des petits films, sur scène, qui sera l’étape suivante. Cela se fera avec de vrais musiciens. Ceux qui m’accompagnent sont super ! »

En effet, BENoît VinCenT entend bien monter au front pour aller défendre son « bébé » qui est en téléchargement gratuit sur son site – www.benoitvincent.com.

Expérience originale

« Là aussi, je réalise une expérience avec cette distribution qui se fait, pour le moment, exclusivement en ligne. Cet opus, c’est un challenge. L’idée est de partager mon univers avec le plus de monde possible, de se faire connaître. Les premiers retours sont bons. On en a même qui viennent de Grande-Bretagne ou encore d’Australie. On capitalise, petit à petit, et on a ouvert un financement participatif pour nous soutenir. »

Place désormais aux répétitions pour transposer cet univers sur scène. « Il y aura également des reprises d’autres artistes mais réarrangées », conclut BENoît VinCent que l’on peut voir également dans son dernier clip, tourné par deux réalisateurs de l’Institut européen de cinéma et d’audiovisuel, « Sail Away »… « C’est comme de l’art contemporain, c’est très expérimental ! On a voulu surprendre les gens. Quoi qu’il en soit, j’ai fait ce que je voulais, sans compromis… Même si beaucoup ont essayé de me décourager ! »

Renseignements sur www.benoitvincent.com